Un rapport d’expertise pénale daté du 15 mai 2025 analyse une séquence diffusée par Complément d’enquête en 2023. L’expert en informatique légale conclut que l’acteur a bien tenu des propos à connotation sexuelle envers une fillette. Tristan Waleckx, présentateur de l’émission de France 2, réagit fermement face aux détracteurs de l’affaire.
🧩 Contexte de l’affaire
En décembre 2023, Complément d’enquête diffusait un extrait où Gérard Depardieu, filmé dans un haras avec Yann Moix, tenait des propos obscènes à propos d’une fillette à cheval. Exemple : « Si jamais il galope, elle jouit », entre autres remarques jugées choquantes.
📌 Une expertise judiciaire accablante
Le 15 mai 2025, une expertise commandée dans le cadre de l’enquête portant sur Charlotte Arnould (accusatrice de Depardieu) a confirmé les soupçons. Selon l’analyse technique, la synchronisation audio-vidéo atteste que les propos provenaient effectivement de l’acteur en direction de l’enfant. L’expert en informatique légale note :
- Trois passages analysés, dont deux où Depardieu regarde directement la fillette.
- Propos : « …elle jouit... elle mouille… C’est bien ma fifille… je le vois, elle se gratte. »
La conclusion : « L’analyse technique permet d’établir que des propos à connotation sexuelle ont été adressés à l’égard d’une fillette »
🗣️ La réaction de Tristan Waleckx
Sur X (anciennement Twitter), Tristan Waleckx juge que ce rapport met fin à un long feuilleton judiciaire et médiatique. Il déclare : « Vivement la reprise de cette information par CNews et le JDD… erratum et excuses publiques de ceux qui ont répété cette fausse rumeur… »
🔄 Débat autour des contre-expertises
L’avocat de Depardieu, Me Assous, a commandé une contre-expertise en réponse aux attaques des médias comme TPMP, CNews ou le JDD. Une expertise civile est encore en cours, mais la contre-expertise pénale initiale a été rejetée. L’avocat a fait appel.
🎯 Pourquoi ce rapport est déterminant
- Il met un terme aux accusations de montage malveillant des détracteurs.
- Il valide l’analyse de Complément d’enquête, appuyée par une authentification judiciaire antérieure
- Les propos incriminés correspondent aux moments où l’acteur et son interlocuteur regardent la fillette.
📺 Riposte des soutiens médiatiques
Des personnalités comme Cyril Hanouna, Pascal Praud ou Geoffroy Lejeune ont défendu Depardieu, estimant que la séquence était sortie de son contexte. Tristan Waleckx estime aujourd’hui que les chaînes et journalistes qui ont relayé cette version ont une responsabilité à assumer.
📅 Ce que prévoit la suite judiciaire
La contre-expertise civile est en cours, mais la décision du pénal renforce la position de la partie plaignante. L’appel décidera si le déroulé sera confirmé ou contesté.
🔍 Et maintenant, quels enjeux ?
- Pour Depardieu : ce rapport compromet sa défense et renforce les accusations.
- Pour les médias : cette affaire est un test sur la responsabilité et la déontologie en matière de vérification d’informations.
- Pour le public : il pose la question de l’impact des propos d’une personnalité publique et de la fiabilité des enquêtes journalistiques.
📊 Synthèse dans un tableau
Élément | Détails |
---|---|
Expertise | 15 mai 2025, conclusion accablante |
Propos de Depardieu | « elle jouit », « elle se gratte », dirigés vers la fillette |
Réaction Tristan Waleckx | Demande d’excuses de CNews, JDD, Hanouna, Praud… |
Contre-expertise | Pénale rejetée, civile en cours |
Prochaines étapes | Appel judiciaire et réponse médiatique attendue |
En conclusion, la décision du 15 mai 2025 établit que les propos tenus par Gérard Depardieu étaient bien destinés à une fillette, validant l’investigation de Complément d’enquête. Un verdict décisif qui promet encore des répercussions médiatiques et juridiques importantes.