Ce 1er juillet, la princesse Diana aurait soufflé ses 64 bougies. Disparue tragiquement en août 1997, elle est restée la “princesse des cœurs”. Mais des témoignages récents révèlent une face moins connue : celle d’une femme dure, sélective, parfois cruelle envers ses employés.
Un anniversaire symbolique et un mythe perpétué
64 ans après sa naissance, Lady Diana continue d’animer les esprits. Reine du cœur populaire, sa disparition aura plongé ses deux fils — William et Harry —, mais aussi toute une nation, dans le deuil. Pourtant, loin des hommages, surgissent des récits plus sombres.
Une réputation d’employeuse exigeante à Buckingham
Selon le Daily Mail et plusieurs biographes, Diana aurait licencié sans ménagement nounous, secrétaires et majordomes, parfois sans explication et portant des charges financières notables.
Tableau : cas emblématiques
Employé(e) | Rôle | Motif évoqué | Somme réclamée |
---|---|---|---|
Barbara Barnes | Nounou de William et Harry | Trop “possessive” | — |
Victoria Mendham | Secrétaire personnelle | Proximité et frais non remboursés | ~6 000 € |
Barbara Barnes : une rupture brutale
Diana aurait congédié Barbara Barnes en 1986 après quatre années de service dévoué, l’accusant d’être “trop possessive”. Selon Penny Junor, la nounou n’a même pas eu le droit de dire au revoir aux deux garçons, une décision qualifiée d’inhumaine.
Victoria Mendham : licenciement et facture
Témoignage de Victoria Mendham, secrétaire de Lady Di pendant sept ans : elle se voit demander discrètement un remboursement de 6 000 € pour frais de voyage. Un licenciement rocambolesque que Charles finit par couvrir, sans explications officielles.
Lady Pamela Hicks : témoignages accablants
Cousine de Philip et témoin dans Vanity Fair, Pamela Hicks dépeint une Diana charismatique mais “malveillante et méchante avec Charles”. Elle précise : “Elle préférait écouter sa musique plutôt que subir l’ennui des recommandations royales.”
Impact pour la Couronne : une facture salée
Chaque licenciement abusif coûtait à la Couronne environ 32 000 €, selon Penny Junor. Des sommes élevées, justifiées par une procédure défaillante et des décisions impulsives.
Un contraste saisissant avec l’image publique
La princesse Diana, porteuse d’empathie publique, se montre dans ces récits à la fois distante et rigoureuse en privé. Une dualité qui fascine autant qu’elle heurte.
Comparaison avec les scandales récents
Le comportement rapporté de Lady Di rappelle les critiques formulées contre Meghan Markle — accusée par du personnel de Buckingham d’avoir mené un comportement similaire avant son départ.