Le mercredi 16 juillet 2025, M6 a dévoilé Murder Party au musée, un jeu télévisé inédit mêlant enquête, improvisation et suspense : sept célébrités — Natasha St‑Pier, Lola Dubini, Diane Leyre, Rayane Bensetti, Roman Doduik, Michel Sarran et François Berléand — se prêtent au jeu dans un décor muséal atypique, sous la direction de Francis Huster.

Le rôle imposé : victime ou tueur, sans répétition

Chaque participant était informé qu’un d’entre eux incarnerait la victime, un autre le tueur, et les autres les enquêteurs. La clé : le tueur n’apprenait son rôle qu’au premier jour de tournage, lors d’un brief succinct pour préserver le mystère. Un procédé qui, selon la productrice Andréa Palis, visait à instaurer une véritable spontanéité.

François Berléand frustré : victime malgré lui

La victime désignée, c’est << François Berléand >>, un choix réfléchi qui s’est finalement avéré décevant pour l’acteur. Malgré une annonce anticipée — afin d’éviter l’offense — il confia plus tard son ressentiment : « Quand je les ai vus tous jouer, je me suis senti dégoûté d’avoir été tué », avoue-t-il. Berléand aurait même souhaité être enquêteur dans une éventuelle saison 2.

La victoire de Lola Dubini, révélée tueur

C’est Lola Dubini qui incarnait le meurtrier du jeu. En remportant la partie, elle a gagné les 10 000 € au bénéfice de l'association qu’elle soutient. Une performance saluée autant pour son audace que pour sa capacité à improviser face aux autres participants.

Tableau récapitulatif des rôles

Les coulisses du tournage dévoilées

Andréa Palis, lors de la conférence de presse, détaille les enjeux de production : apprendre les rôles sur le vif, respecter la dynamique du groupe, préserver l’authenticité. Ces choix ont généré des tensions mais aussi des moments d’improvisation pure, offrant un spectacle inédit.

Pourquoi ce récit intéresse

L’intrigue du rôle mal vécu, la notoriété de François Berléand, le format original du jeu et l’émotion suscitée par les réactions des participants constituent des éléments forts pour le référencement. Chaque mot-clé comme « frustré », « victime », « enquêteur », « Lola Dubini » renvoie au contenu central.

Un jeu plus qu’un divertissement

Murder Party se démarque des formats classiques, en misant sur l’improvisation et la psychologie des participants. Si certains comme François Berléand montrent leur insatisfaction, cela atteste du pouvoir immersif du programme. Un pari audacieux pour M6, que le public découvrira pleinement dans les épisodes suivants.