Le 22 juillet 2025, Tori Spelling, célèbre pour ses rôles dans Beverly Hills et Scary Movie, a fait une déclaration audacieuse : à 51 ans, elle souhaite poser en couverture du magazine Playboy. Une revendication assumée, qui reflète un état d’esprit résolument libéré et en rupture avec les conventions hollywoodiennes sur l’âge et la féminité.

Une sexualité revendiquée sans tabou

Lors de cette interview exclusive, Tori Spelling confie avec franchise sa perception actuelle de la sexualité. "Je ne crois pas aux regrets", affirme-t-elle, tout en partageant son regret spécifique d’avoir refusé une proposition du célèbre magazine érotique. Aujourd’hui, elle en parle avec humour et une pointe de provocation : "J’aurais aimé faire la couverture de ce putain de Playboy !"

Des confidences intimes et décomplexées

L’actrice revient également sur des aspects plus intimes de sa vie conjugale. Elle évoque une vidéo privée tournée avec son mari, leurs premiers baisers passionnés en public, ainsi que les moments d’intimité qui, selon ses propres mots, ont consolidé leur relation. Cette transparence, parfois déconcertante, témoigne d’une volonté claire de se réapproprier son image de femme libre.

La chirurgie esthétique : un parcours assumé

Connue pour avoir toujours été honnête à ce sujet, Tori Spelling explique avoir eu recours à deux interventions classiques à Hollywood : la rhinoplastie et l’augmentation mammaire. Récemment, elle a même subi une nouvelle opération pour remplacer ses implants, tout en choisissant de conserver les anciens... chez elle. Un choix qu’elle assume pleinement, en souriant de ce geste insolite.

Tori Spelling : le symbole d’une époque

Actrice marquante des années 90 et 2000, Tori Spelling incarne une période où la culture populaire célébrait une féminité hypersexualisée. Avec d'autres icônes de la même génération comme Carmen Electra, Tara Reid ou Shannon Elizabeth, elle a souvent été réduite à un archétype. Aujourd'hui, elle revendique fièrement cet héritage tout en le dépassant, se plaçant en porte-voix d'une génération de femmes qui refusent de disparaître avec l'âge.

Les figures emblématiques des années 90 : comparaison des carrières

Un regard critique sur le système hollywoodien

À travers ses propos, Tori Spelling critique indirectement les standards imposés aux femmes par l’industrie du divertissement. Le fait de devoir cacher son âge, gommer les traces du temps ou faire profil bas après 40 ans sont autant de diktats qu’elle rejette. Sa prise de parole s’inscrit dans une tendance plus large de réappropriation du corps et de la narration féminine.

Playboy, un symbole toujours convoité ?

Poser pour Playboy, autrefois signe de consécration médiatique, est aujourd’hui devenu un sujet de débat féministe. Pour certaines, il représente une forme de libération, pour d'autres, une image dépassée de l’objectification. Dans le cas de Tori Spelling, ce désir s’inscrit dans une démarche personnelle de réappropriation identitaire, à la croisée de l’émancipation et de la nostalgie.

Un message de liberté pour les femmes de plus de 50 ans

Avec ses 51 ans et sa volonté de poser nue, Tori Spelling envoie un message fort : celui que la sensualité, l’estime de soi et le droit à exister médiatiquement ne s’arrêtent pas avec l’âge. Elle ouvre ainsi la voie à une nouvelle représentation des quinquas dans les médias, loin des clichés vieillissants et sexistes.

Tori Spelling, entre icône pop et porte-parole générationnelle

À travers cette interview sincère et sans retenue, Tori Spelling confirme son statut de figure publique influente. Plus qu’une star nostalgique, elle devient l’incarnation d’une parole libérée, fière, et tournée vers l’avenir. À 51 ans, elle n’a peut-être jamais été aussi audacieuse — et cela mérite bien une couverture.