Un expert de la famille royale britannique, le journaliste Robert Jobson, dresse un portrait sombre du futur du prince Harry. Selon lui, l’ancien duc de Sussex serait sur le point de devenir un *"has‑been"*, déchu de son aura royale et cantonné à un rôle accessoire dans l’ombre des futurs héritiers.
Un expert royal sonne l’alarme sur la popularité d’Harry
Lors de l’émission *Royal Exclusive* de *The Sun*, Robert Jobson affirme que la popularité du prince Harry est en net recul, tandis que celle des jeunes royaux comme le prince George, la princesse Charlotte et le prince Louis ne cesse de grimper. L’interview avec Oprah Winfrey et la rupture du contrat Netflix d’une valeur de 100 millions $ en sont les symboles les plus marquants.
Sa conclusion est sans détour : "Ils ont 40 ans… Ce ne sont plus de jeunes royaux. Ils sont devenus 'has been' maintenant. Tous les regards se tournent vers George, Charlotte, Louis. Harry et Meghan ne seront bientôt plus que des personnages secondaires."
Des projets en berne et une visibilité déclinante
Le contrat Netflix de 100 millions $, conclu en 2020, ne sera pas renouvelé lors de son expiration en septembre 2025. Les projets récents comme la série *With Love, Meghan* ou le documentaire sur le polo d’Harry n’ont pas rencontré le succès escompté.
Selon les estimations, la série documentaire sur le polo n’aurait généré que 500 000 vues dans le monde en six mois, illustrant un désintérêt grandissant du public.
Le risque d'une "date de péremption" selon Jobson
Citant Valentine Low, l’auteur de *Courtiers: The Hidden Power Behind The Crown*, Jobson rappelle que Harry est obsédé par la crainte de devenir "insignifiant". Il se compare à son oncle, le prince Andrew, et estime devoir trouver sa place avant que le prince George atteigne l’âge adulte.
"Quand George aura 18 ans, je n’aurai plus le temps", aurait-il pensé, selon cette source. Un sentiment d’urgence teinté de frustration face à l’éclat croissant des jeunes royaux.
Un tableau comparatif de popularité
Critère | Harry & Meghan | William & enfant royaux |
---|---|---|
Popularité actuelle (UK) | ~30 % favorable | William : ~62–73 %, Kate : ~61–76 % |
Contrats médias | Netflix non renouvelé, Spotify interrompu | Présence médiatique croissante |
Attention du public | En déclin | En progression constante |
Une image déclinante en chiffres
Selon une enquête YouGov début 2023, environ deux tiers des Britanniques avaient une perception négative de Harry, ne laissant qu’un quart de sympathie.
Encore en 2024, près de la moitié des sondés considérait Harry comme une célébrité moins légitime qu’un membre actif de la famille royale, démontrant une distanciation durable du public envers lui et Meghan.
Un expert évoque un "prince chauve de 50 ans"
Robert Jobson conclut sur une image crue : "Il sera un prince chauve de 50 ans, anciennement connu sous le nom de Prince… qui ne sera plus reconnu par la jeune génération." Cette formule symbolise une destinée qu’il estime inévitable pour le couple Sussex.
Il anticipe une perte d’influence massive, à mesure que les nouveaux héritiers capteront l’attention médiatique et publique.
Une critique structurée du récit médiatique
Le traitement médiatique de Harry et Meghan reste omniprésent. Une étude indique qu’ils mobilisent plus de 57 % des sujets relatifs à la royauté, bien que leur popularité décline.
Cela soulève une contradiction : malgré leur couverture intense, ils peinent à maintenir leur influence et à engager le public de manière positive.
Vers un repositionnement ou un retrait ?
Alors que des observateurs suggèrent une possible volonté de rapprochement avec la monarchie, par des gestes comme le partage de leur calendrier officiel, d'autres estiment que le couple Sussex se heurte à une réévaluation forcée de leur statut.
La fin de grands accords médiatiques pourrait les amener à se recentrer sur des projets philanthropiques, empruntant ainsi un chemin plus discret et plus aligné avec l’héritage de Lady Diana.
Un avenir incertain pour le couple Sussex
Au terme de cette analyse, l’expertise de Robert Jobson converge vers un constat limpide : l’ère Harry‑Meghan semble toucher à sa fin médiatique. Leur popularité en déclin, leurs projets commerciaux décevants et la montée en puissance des jeunes princes annoncent un repositionnement obligé, voire une relégation progressive du devant de la scène royale.
Se pose désormais la question de leur redéploiement : prioriser la philanthropie, reconstruire une image crédible, ou accepter un statut secondaire dans une institution monarchique en pleine transition.
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